Pendant des décennies, l'idéal révolutionnaire d'une certaine gauche a épousé le désir d'émancipation, la soif de fraternité. Nous pensions qu'après la Catastrophe, la source du venin était tarie, nous avons cru en un monde pluriel ou nous avions enfin notre place. Mais les amants du chaos se sont reveillés, chez Charlie et plus tard. Nous sommes tous devenus un peu Juifs...